Si comme moi vous aimez les BD-fleuve, je vous envoie vers
Lily Love Peacock (266 pages), dessins en noir et blanc. Y a pas vraiment d'histoire, dans le sens où on n'a pas de structure début-péripéties-conclusion, mais on suit plutôt la vie de Lily, mannequin un peu paumée par rapport à son enfance dans la brousse et sa passion pas-si-éteinte pour la chanson. Je citerai BDGEst :
L'histoire, rythmée par des chansons de l'héroïne, est construite avec minutie, entraînant le lecteur dans une longue ballade dont il est difficile de décrocher..
Bref, objectivement je n'irai pas jusqu'à qualifier cette BD de chef-d’œuvre, mais j'ai pas vu passer le temps en la lisant.
A noter qu'en dehors d'une histoire en trois tomes (en rapport avec celle-ci d'ailleurs), l'auteur se cantonne aux one-shot.